Paraît
un sourire
on oublie tout…
presque
Surgit
un visage doux
au coin d’un rêve
tout
le bonheur
un instant
là
Apparaît
quelque contrariété
la grisaille
se dégrise
et des larmes
éteignent
la source
enflammée
de la joie
Disparaît
ce phantasme
où l’on vit
un peu seul
toujours plus
Croire
et accroire
que fidèle
la vie l’est
et si on l’était !
JrB, Ensisheim, le 13 août 1982
Les larmes sont l’extrême sourire.